SOMMET DU COURNUDERE
Mardi 16/01/2024 : Sommet de Cournudère (1561m) en boucle par
les crêtes (1594m) au départ du col de Portet d’Aspet (1068m).
Dénivelé : 780M ; 13,8Km ; 5H30 de marche.
9H sur le parking du col de Portet d’Aspet ; départ à 14 et sans raquettes sur la piste forestière vers l’Est et la forêt domaniale de Bellongue Nord.
Juste un souvenir imprimé dans nos têtes, le paysage hivernal de mardi dernier au Menté.
Pas une trace blanche, versant sud du massif de Paloumère.
C’est parti pour 5km de piste en légère montée puis descente ; les mollets s’échauffent, les langues aussi !
Sur la gauche, niveau sentier venant de Galey, un sentier balisé en jaune et marqué Pic de Cournudère monte vers l’Ouest.
Début du dénivelé, le chemin bien tracé dédié aux chiens de berger est jalonné de photos vantant les mérites de ces fidèles gardiens de troupeaux.
Bien sympathiques sur les panneaux, les boules de poils mais pas toujours sur le terrain en période estivale.
Montée progressive dans la forêt, sortie du bois face à un parc pour animaux au fond d’un cratère nommé le « Trou de l’Eglise ».
On laisse sur la gauche la cabane de Cournudère pour remonter la pente du cratère et accéder au piquet sommital du Pic.
Du vent en crête, installation à l’abri sous les rochers pour un pique-nique panoramique toujours autant apprécié.
Retour en montagnes russes par les crêtes, digestion difficile dans les montées, le prix à payer pour une vue imprenable tout le long du parcours entre la vallée de la Garonne à droite et l’Ariège à gauche.
La chaîne étire ses sommets enneigés du Valier bien distinct jusqu’au Pic du Midi à l’Ouest en passant par la Mail de Bulard, Maubermé, Serre Haute, Crabère…
Après le dernier Tuc des Haurades, descente dans la cuvette enneigée pour rejoindre le sentier sous le col des Passagers, passage raide et glissant à l’entrée dans la forêt.
Retour au col de Portet vers 15H45, une bonne journée sportive terminée chaleureusement dans un café de la place d’Aspet.
Deux délicieuses galettes de la maison Honoré nous régalent jusqu’à la dernière miette ; une attention bien apprécié de notre ami « immigré » en terre Cazaunousoise !
Monique